Personne, hormis les familles qui ont vécu l’indicible douleur de perdre un enfant, ne sauront jamais ce que vous traversez…
Pas un mot, pas un témoignage, pas un écrit ne sauront suffire pour vous accompagner, vous, ses parents, sa grande sœur et ses jeunes frères, face à la tragédie qui s’est abattue ce soir de mai … sur une route banale reliant l’Yonne et la Nièvre.
Ici, on gardera l’image d’un garçon volontaire, décidé…
Et de me rappeler, une fois encore, mais celle-là est encore plus insupportable, la phrase de Françoise Sagan :
« le malheur est indécent ! Et en plus il ne vous apprend rien ! »